Bonjour!
Voici l'histoire que je te propose, j'espère qu'elle te plaira...
Il était une fois, un royaume d'Egypte florissant aux habitants heureux. Chacun possédait ce dont il avait besoin, mais guère plus, car les richesses étaient redistribuées aux pauvres. On avait compris que le bonheur n'est pas l'argent mais l'amour, l'amitié et l'entraide.
Ce royaume avait à sa tête un prince bienveillant: Djar. Il chérissait son peuple, qui l'adulait en retour. Jamais n'avait-on vu autant de bonté et de sagesse incarnées dans un homme, aussi decida-t-on de le surnommer Prince Blanc. Djar n'était point béliqueux et prenait soin d'éviter tout conflit. Si il possédait une armée, il ne souhaitait pas s'en servir, et perdre des sujets inutilement: il avait déjà compris les méfaits de la guerre.
Tout se passait pour le mieux dans ce royaume florissant, lorsque les Démons attaquèrent par une matinée chaude dans le Sahara.
L'armée engourdie fut bien vite écartée, les habitants pris en joug et les richesses pillées. Il ne restait plus rien lorsque l'armée des Syriens, les Démons, arrivèrent aux portes du palais royal.
"Ouvrez!" tonna la voix puissante et lugubre du Prince Noir, Salim.
Ce fut Djar qui se présenta d'un pas décidé, à la porte. Ses jambes tremblaient mais il ne voulait rien laisser paraître.
"Que voulez-vous de plus?" demanda-t-il dans un soupir.
Salim n'hésita pas: "Les richesses de la famille royale!"
Le Prince Blanc fit un sourire désolé: "Mais nous n'avons rien. J'ai legué mes richesses; mon peuple en a fait meilleure usage moi."
Les Syriens éclatèrent d'un rire tonitruant.
"Donner ta richesse à ces vermines? Je vais remédier à cela. Il est temps de remettre ce pays sur le droit chemin!"
"Vous êtes complètement fou!" scanda une voix féminine derrière Djar. "Nous ne nous rendrons pas."
Izel venait de parler. C'était la soeur du Prince Blanc, et bien qu'elle semble douce et que ses traits soient délicats, elle n'en restait pas moins une femme forte et déterminée.
"Alors, vous mourrez." dit leur ennemis en sortant une épée glacante de son étui. Il reprit avec un sourire carnassier "Une dernière volonté?"
Djar répondit: "Oui. Je souhaite aller me recueillir sur la tombe de ma défunte mère avant de la rejoindre à mon tour"
"Soit." accepta Salim, "mais vous serez accompagnés de mes gardes. N'essayiez point de nous entourlouper."
***
Au clair de la Lune ce soir-là, Djar prépara sa sacoche en silence. Il prit bien soin d'y ajouter une carte du désert et le plan du tombeau de sa mère. Au fond de son sac, une lame luisit. Son épée magique.
Attends je vais manger je le reedite plus tard XD
