Answered

Trouvez des réponses fiables à vos questions avec l'aide d'Zoofast.fr. Notre communauté est prête à fournir des réponses approfondies et des solutions pratiques à toutes les questions que vous pourriez avoir.

Bonsoir, Je suis en classe de 3ème 
Je dois lire le livre [un long dimanche de fiancailles ]de Sebastien Japrisot,
Pour ce qui l'on lu est-ce que vous pouvez me donnez un extrait ou un passage marquant qui vous a plus et pourquoi vous avez aimez, moi je l'ai lu mais je l'ai pas aimez donc je pas trop quoi dire et je suis obliger de donner un passage marquant. urgent s'il vous plaît MERCI D'AVANCE !
PS / PRIX DU MEILLEUR ATTRIBUER SI BONNE REPONSE :) ! 

Sagot :

PAGE 39/40 « Entre deux salves, on vit quelque chose s’agiter dans les trous d’obus, une forme se relever, un des survivants avait dénoué sa ceinture de flanelle, une large ceinture rouge, et, agenouillé sur le bord de son trou, à trente pas des Allemands, il agitait son fanion, le bras levé très haut.- Rouge ! Il demande qu’on allonge le tir, cria la tranchée.Secs, tragiques, des coups de mauser claquèrent. Le soldat s’était recouché, touché peut-être… Des obus piochèrent encore le point maudit, arrachant un tourbillon de terre dans la fumée lourde. Anxieux, nous attendions que le nuage s’écartât…Non, il n’était pas mort. L’homme se redressait en levant le bras très haut, il agitait sa ceinture d’un grand geste rouge. Encore une fois les Boches tirèrent. Le soldat retomba…On hurlait…- Salauds ! Salauds !- Il faut attaquer, criait Gilbert hagard.Entre deux bordées de tonnerre, le soldat se relevait toujours, son fanion au poing, et les balles ne le faisaient coucher qu’un instant. « Rouge ! Rouge ! » répétait la ceinture agitée. Mais notre artillerie prise de folie continuait de tirer, comme si elle eût voulu les broyer tous. Les obus encerclaient le groupe terré, se rapprochaient encore, allaient les écraser…Alors, l’homme se leva tout droit, à découvert, et d’un grand geste fou, il brandit son fanion, au-dessus de sa tête, face aux fusils. Vingt coups partirent. On le vit chanceler et il s’abattit, le corps cassé, sur les fils acérés dont les liens le reçurent. » Tu DIS JAI CHOISI CET EXTRAIT CAR CST UN MOMENT MARQUANT DU LIVRE QUI MONTRE UN DE CES HEROS DE GUERRE QUI RESTE SEULEMNT DANS LES MEMOIRE DE QUELQUES SOLDATS ET QUUI DONC NE SONT PAS CONNUS DU GRAND PUBLIC.CEST AUSSI LUN DES MOMENT LES PLUS EMOUVANT DU LIVRE  
Nous apprécions chaque contribution que vous faites. Revenez souvent pour poser de nouvelles questions et découvrir de nouvelles réponses. Ensemble, nous construisons une communauté de savoir. Merci de visiter Zoofast.fr. Revenez bientôt pour découvrir encore plus de réponses à toutes vos questions.